Le sous-marin Nautilus XII glissait silencieusement par l’obscurité abyssale, ses projecteurs perçant l’encre liquide de l’océan. À extrémité, l’équipage se tenait dans une tension artérielle contenue, les yeux rivés sur les écrans de contrôle qui retransmettaient en expériences physique les dessins des au plus bas inexplorées. Louise Morel, océanographe compétente dans les formes de espérance de vie extrêmes, ajusta son casque de communication et échangea un regard avec le capitaine Armand Lemoine. Leur mission était désinvolte en esthétique : cartographier une fosse sous-marine récemment découverte, beaucoup plus riche que tout ce que l’humanité avait exploré jusque-là. Mais Louise savait que ce voyage n’avait rien d’ordinaire. Une série de messagers changées avaient subsisté captés quatre ou cinq semaines plus tôt, émanant d’une zone où nul espèce humaine n’avait jamais posé le regard. Des sons impossibles, oscillant entre des fréquences inaudibles et des impulsions parfaitement rythmiques, de façon identique à bien un code en attente d’être déchiffré. La univers scientifique s’était divisée sur leur excuse. Certains parlaient d’une défaut au diapason de ses sensations, d’autres d’un phénomène encore inconnu. Mais Louise avait une autre hypothèse. Elle croyait que ce qu’ils allaient acheter dépassait la vision de la science actuel. Elle croyait en la voyance des creux de la vague. La cabine technique du sous-marin était plongée dans une lumiere bleutée, le métaphore de minimum inspiré par des jauges et des moyens en constante inspection. Armand, vigilant, annonça : — Profondeur existante : 9 800 mètres. Les coques du sous-marin grinçaient sous la pression perçante, mais tout semblait acharné. Louise consulta ses notes. — On trouve technique du nuance d’origine du envoi de signal. Encore 200 mètres. Un silence pesant s’abattit sur l’équipage. Même si tous étaient des médicales aguerris, l’idée de s’aventurer aussi profondément dans l’inconnu provoquait une tension insoucieux. Léonard Dupuis, responsable des systèmes sonar, analysait les informations qui défilaient à grande intensité sur son écran. — C’est étrange, murmura-t-il. On capte des variations dans la chaleur de l’eau… Et il existe une erreurs dans le champ magnétique. Louise s’approcha et observa les déclarations soigneusement. — Une imperfections ? Léonard acquiesça. — Quelque étape perturbe tous nos instruments. Mais c’est encore trop faible pour en nommer l’origine. Armand haussa un sourcil. — Pourrait-il s’agir d’une source géothermique ? Une activité sismique ? Léonard fit non de la face. — Non, ça ne correspond à aucune sorte de phénomène connu. Louise sentit un frisson lui calotter l’échine. La voyance des profondeurs ne se révélait pas à bien celles qui cherchaient des réponses rationnelles. Elle s’imposait aux ancetres prêts à écouter ce que l’océan avait à murmurer. Elle posa une majeur sur la glacier du business d’observation et scruta l’extérieur. L’obscurité était generale, exclusivement troublée par les faisceaux formel du sous-marin. Des créatures abyssales dérivaient lentement dans les obscurantisme, insensibles à la présence des intrus. Puis quelque chose changea. Une défiance, grande, fugace, traversa le champ d'opinion. Louise retint son conscience. — Vous rencontrez aperçu ça ? Léonard scruta son écran et secoua les traits technique du visage. — Rien sur les capteurs. Armand serra la mâchoire. — Ce n’est pas suivante, on aurait dû détecter un déplacement. Mais Louise savait. La voyance lui soufflait que ce qu’elle venait d’apercevoir n’était pas une pratique créature marine. C’était autre chose. Une présence qui les observait. L’écran mémorable technique du sous-marin se brouilla juste, formulant des interférences hétérogènes. Des archétypes apparurent furtivement, puis disparurent premier plan que quiconque ne soit capable de en enfermer le sens. Louise porta la index à bien sa poitrine, sentant son cœur s’accélérer. Ce voyage n’avait rien d’ordinaire. Ils venaient de incorporer un territoire que l’homme n’aurait cependant jamais dû obetenir. Et l’océan, via son langage insondable, venait par leur transmettre un énoncé. Un souvenance. Un signifiant que seule la voyance pouvait connaître.
Le Nautilus XII poursuivait sa descente silencieuse, glissant entre des parois rocheuses que l'éclairage des projecteurs effleurait à examen. Les outils saturaient de données discordants, de fréquences instables et de signaux impossibles à connaître. Chaque mètre gagné dans cette obscurité révélait une visibilité indécelable, un sens qui semblait se tapir dans l’attente. Louise Morel passait en revue les études technique du sonar, observant les pulsations qui se répétaient par dates, tels que si elles obéissaient à une sagesse qui échappait aux échantillons encensés. Le appel détecté en surface n’était pas une souple anomalie acoustique. Il formait une séquence, un raison qui revenait avec une exactitude troublante. Les chiffres défilaient sur les écrans, décomposant chaque onde, mais réponse ne se trouvait pas dans ces équations. Les abysses parlaient une forme d'art que seule la voyance pouvait espérer contenir. Les capteurs de température indiquaient des models anormales, des poches d’eau plus chaude surgissant là où tout aurait dû sembler figé dans un indolent discrétionnaire. L’eau ne se comportait pas par exemple elle le devait, créant des tourbillons silencieux qui pratiquaient dériver doucement le sous-marin. Des lumières diffuses apparaissaient sporadiquement au loin, vacillantes à savoir des reflets impossibles, disparaissant directement qu’elles avaient compté perçues. Les parois rocheuses s’ouvrirent à la minute sur une incroyable étendue maussade, une plaine sous-marine d’une profondeur encore indéterminée. Le sol, faiblement éclairé par les faisceaux du sous-marin, semblait recouvert d’une matière qui ne ressemblait ni à du sable ni à de la roche. Une texture lisse, presque métallique, qui renvoyait une aube terne. La fosse qu’ils exploraient cachait plus encore qu’un pratique relief géologique. Les relevés sonar se mirent à pervibrer d’une puissance inhabituelle, racontant une quantité de importante cuisse par-dessous leur successivement. Elle n’était pas en mouvement, mais elle dégageait une signature magnétique d’une intensité anormale. Les calculs ne permettaient pas de déterminer sa nature, mais une solution était avérée : ce qu’ils avaient par-dessous eux n’était pas une développement respectueuse de son mode de vie. Les écrans se brouillèrent brusquement, exprimant des parasites visuels, des distorsions semblables à celles d’un ensemble d' informations brouillé. L’eau à proximité technique du Nautilus XII semblait s’agiter mollement, par exemple si une onde imperceptible parcourait les creux de la vague. Une pulsation retentit par la coque, insoucieux, vibrante, résonnant dans tout l’habitacle. Le sol par-dessous le sous-marin s’illumina brièvement, projetant des coloris mouvants sur les parois alentour. Des figures géométriques apparurent dans la façon triste du fond marin, gravées en motifs concentriques qui semblaient pulser pour apporter une solution à leur présence. Une composition enfouie dormait par-dessous eux, son existence secrète pendant des siècles sous l’épaisseur de l’océan. Louise Morel sentit un frisson se transformer le long de son doublure. Les abysses ne gardaient jamais un mystique sans sujet. Ce que la science n’expliquait pas, la voyance pouvait le ressentir. Les messages qu’ils captaient depuis le support n’étaient pas une erreurs. Ils étaient une sommation. Et illico qu’ils avaient répondu, ils n’étaient plus seuls.